IL NE MANQUE PLUS QU'ELLES...

Publié le par Lucile Guérin

L'automne, puis l'hiver et revoici le printemps. La neige, la pluie et le vent ont sévi sur le Morvan mais la petite maison du poulailler a résisté.

Résisté ? Oui mais la bâche qui sert de toit n'en peut plus. Le soleil, le froid et l'humidité l'ont éprouvée. Elle n'est plus étanche. Nous l'avions déjà constaté en février, il fallait prendre une décision.

IL NE MANQUE PLUS QU'ELLES...

Alors c'est la visite des magasins de matériaux. Difficile de trouver une couverture résistante, facile à transporter dans une voiture, facile à couper au besoin et puis nous n'avons pas les mesures.

Enfin un jour près de Villecresnes, dans un grand magasin bien achalandé peut-être que Paule a trouvé la solution.

Et voilà la fermière et deuxièmesoeur qui s'embarque pour le Morvan. La voiture transporte le matériel, des scies qui scient, des vis et même une visseuse électrique. C'est le printemps, il fait beau en cette fin avril. Le voyage se fait sans encombre. Nous retrouvons la maison, l'abri à bois prêt à s'écrouler, le poulailler et le jardin qui nous tend les bras pour la plantation des pommes de terre.

IL NE MANQUE PLUS QU'ELLES...IL NE MANQUE PLUS QU'ELLES...
IL NE MANQUE PLUS QU'ELLES...

Le travail commence et avec, bien sûr, les difficultés. La partie à couvrir est plus grande que nous l'avions imaginée, nous n'avions pas envisagé la faitière et les vis ne veulent pas entrer dans le bois.

Jusqu'à la nuit tombante nous scions et fixons les planches qui vont supporter les tôles. Le temps se gate.  Jusqu'à la nuit tombante nous scions et fixons les planches qui vont supporter les tôles. Le temps se gate.
Jusqu'à la nuit tombante nous scions et fixons les planches qui vont supporter les tôles. Le temps se gate.

Jusqu'à la nuit tombante nous scions et fixons les planches qui vont supporter les tôles. Le temps se gate.

Enfin le travail avance mais nous n'avons pas les bons outils. Enfin le travail avance mais nous n'avons pas les bons outils.

Enfin le travail avance mais nous n'avons pas les bons outils.

Demain nous irons en ville trouver une solution pour ces vis.

Quand nous arrivons Weldom va fermer, c'est l'heure du déjeuner. Alors nous nous rabattons sur le supermarché où nous trouvons une clé à pipe de 8 mm. Nous retournons aux Gardebois impatientes d'essayer le nouvel outil.

Entre temps nous avons désherbé et planter les pommes de terre, allumer du feu, cuit le pain.

Le vissage n'a plus de secret pour Paule: faire un trou avec un clou, agrandir avec la vrille, mettre la vis et grâce à la clé, la vis rentre sans difficulté.Le vissage n'a plus de secret pour Paule: faire un trou avec un clou, agrandir avec la vrille, mettre la vis et grâce à la clé, la vis rentre sans difficulté.

Le vissage n'a plus de secret pour Paule: faire un trou avec un clou, agrandir avec la vrille, mettre la vis et grâce à la clé, la vis rentre sans difficulté.

Les deux plaques sont fixées, reste à mettre la faitière que nous avons trouvée à Autun. Pas simple. Il faudrait qu'elle couvre un peu l'arrière, qu'elle chevauche les plaques, qu'elle adhère aux plaques pour que la pluie ne passe pas en dessous.

Après mûres réflexions, Paule se remet au travail. Il fait froid, quelques flocons de neige volent autour de nous mais rien arrêtera Paule.
Après mûres réflexions, Paule se remet au travail. Il fait froid, quelques flocons de neige volent autour de nous mais rien arrêtera Paule.

Après mûres réflexions, Paule se remet au travail. Il fait froid, quelques flocons de neige volent autour de nous mais rien arrêtera Paule.

Enfin la maison des poules est prête. Il aura fallu quelques jours pour terminer le poulailler commencer l'été 2014.

IL NE MANQUE PLUS QU'ELLES...

Il ne manque plus qu'elles...

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