La montagne c'est la santé

Publié le par Lucile Guérin

Sur deux semaines nous avons observé bien du mouvement dans le gîte.

Paule Lucile et Émile sont arrivés en cours de séjour pour découvrir avec bonheur qu'Isabelle et Marie-Claude nous avaient déniché un petit coin de paradis.

le village du Lauzet à quelques kilomètres du col du Lautaret côté Briançon.

le village du Lauzet à quelques kilomètres du col du Lautaret côté Briançon.

Chaleureux, clair, bien aménagé avec une grande pièce où se retrouver après les balades. Le soir c'était une vraie fourmilière.

La montagne c'est la santéLa montagne c'est la santé
La montagne c'est la santéLa montagne c'est la santé

Un village curieux. Des poules se promenaient dans les rues, une truie très grasse était considérée comme une habitante de ce lieu, des chevaux et poneys passaient près du chalet plusieurs fois par jours. Nous n'avons jamais osé ramasser le crottin pourtant il y avait de quoi faire.

Bien sûr, chaque jour une, voir deux sorties étaient organisées. Même Émile qui ne pouvait pas marcher faisait un tour dans la région. ..en voiture.

Vers le col de Granon ou bien au col d'Arsine, les enfants marchent comme des chamois. Vers le col de Granon ou bien au col d'Arsine, les enfants marchent comme des chamois.
Vers le col de Granon ou bien au col d'Arsine, les enfants marchent comme des chamois. Vers le col de Granon ou bien au col d'Arsine, les enfants marchent comme des chamois.

Vers le col de Granon ou bien au col d'Arsine, les enfants marchent comme des chamois.

Nous épuisons toutes les possibilités afin de convenir à tous.

MArie-Claude et maryse en allant au col d'Arsine (900m). Paule et Lucile à la Porte de Cristol pendant qu'Isabelle, Fabio, Corentin et Pierre-François grimpent au-dessus au sommet du grand Aréa (700m).
MArie-Claude et maryse en allant au col d'Arsine (900m). Paule et Lucile à la Porte de Cristol pendant qu'Isabelle, Fabio, Corentin et Pierre-François grimpent au-dessus au sommet du grand Aréa (700m).

MArie-Claude et maryse en allant au col d'Arsine (900m). Paule et Lucile à la Porte de Cristol pendant qu'Isabelle, Fabio, Corentin et Pierre-François grimpent au-dessus au sommet du grand Aréa (700m).

Mais nous avions un défi à relever: l'an dernier nous étions dans la vallée qui borde le même massif côté nord. Nous étions montés au refuge du Thabor. Plus de place pour y passer la nuit et gravir le lendemain le Mont Thabor. Nous avions abandonné. Le chemin était long. Mais quelques semaines plus tard, Charlotte nous a bien surpris en y allant tranquillement. Impossible pour certain de laisser passer sans rien dire.

Ils se sont préparés moralement et physiquement. Qui allait y aller en partant de la vallée étroite avec 1 400 m de dénivelé? Corentin et Isabelle. Belles foulées montagnardes. Lucile était tentée mais pas bien entrainée.

Un beau matin ils sont partis tous les trois. La météo était plutôt bonne. Lever tôt, départ 7h pour se rendre dans la vallée de Névache puis dans la vallée étroite à la frontière italienne. Le sac sur le dos, il fait froid mais le ciel est dégagé, la montée commence. Il faut s'enfoncer dans une première vallée puis une autre puis une autre, atteindre le col de Méandres puis montée abrupte pour atteindre la crête qu'il faut suivre jusqu'au sommet. Charlotte l'a bien fait. Mais de ce côté le dénivelé est très important.

Ils y arrivent en un temps record, Isabelle et Corentin. Lucile s'arrête sur la crête, distancée et dans les nuages, faut-il continuer ? Elle les attendra en contrebas. Dommage, le sommet n'était pas loin.

Le col de Méandres (2 727m), la crète 300m plus haut, la descente des deux "héros".Le col de Méandres (2 727m), la crète 300m plus haut, la descente des deux "héros".
Le col de Méandres (2 727m), la crète 300m plus haut, la descente des deux "héros".Le col de Méandres (2 727m), la crète 300m plus haut, la descente des deux "héros".

Le col de Méandres (2 727m), la crète 300m plus haut, la descente des deux "héros".

Une soirée festive a clôturé ce séjour sportif.

Pour garder la santé nous nous sommes promis d'y retourner l'an prochain.

Quel défi cette fois ?

Alain, Marie-Geneviève et Michel étaient là la première semaine. Tous se sont croisés le vendredi soir, le temps d'un repas animé et convivial surtout que c'était l'anniversaire de Marie-Geneviève.

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